Le Corbeau et le Renard (La Fontaine puis Benjamin).

Maître Corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître Renard, par l’odeur alléché,
Lui tint à peu près ce langage :
« Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois. »
A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Le Renard s’en saisit, et dit : « Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l’écoute :
Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute.  »
Le Corbeau, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus.

Jean de La Fontaine

Un autre jour, ce même corbeau tenait dans son bec
Un fromage empoisonné.
Par l’odeur alléché, le renard s’approche et flatte le corbeau
Pour obtenir son précieux repas.

 » Hé, maître corbeau, que vous me semblez beau.
Si vous me montriez votre belle voix
Vous seriez le Phénix des hôtes de cette forêt.  »

Le corbeau ouvrit son bec et le fromage tomba.
Le renard, affamé mangea le fromage empoisonné.
Et le renard tomba ainsi malade.

 » Ha ! Ha ! Ha ! Je t’ai eu  » se vantait le corbeau.
 » Tu m’as cru assez naïf pour me flatter une deuxième fois ?
Je te souhaite un très bon appétit !  »

Benjamin

L’ordinateur portable et son voisin l’ordinateur fixe (Stéphane).

Un ordinateur portable n’avait plus de batterie. Il alla flatter son voisin, un ordinateur fixe.
« Mon cher voisin, que tu es fort, que tu as de l’énergie ! Peux-tu me montrer ton électricité ? »
« Pas de problème, regarde. »

L’ordinateur fixe débrancha son câble et le donna à l’ordinateur portable pour lui montrer son splendide courant électrique. Ce dernier s’en alla en rigolant et il put ainsi se recharger dans la pièce d’à côté.

L’ordinateur fixe n’avait plus l’énergie de lui courir après.
« Ce n’est pas juste. Tu es un voleur ! cria l’ordinateur fixe. »
« Ha ! Ha ! Je t’ai bien eu ! La prochaine fois, méfie-toi des compliments ! »

Morale : Il faut faire attention aux flatteurs, même en 2010 !

Stéphane

L’aigle et la tortue (Esope puis Jason).

Une tortue suppliait un aigle de lui apprendre à voler. L’aigle avait beau lui dire qu’elle n’était pas faite pour ça, elle ne s’en montrait que plus pressante.

Esope

« Alors, l’aigle, s’il te plaît, tu m’apprends à voler ? J’aimerais tellement, supplia la tortue. »
« Allez, c’est d’accord, monte sur mon dos. »

L’aigle s’envola et donna à la tortue un dernier conseil.

« N’oublie pas de battre très vite tes pattes, conseilla l’aigle qui planait. »
« D’accord, j’y penserai, répondit la tortue qui se réjouissait. »
« Maintenant, tu peux sauter, bonne chance ! »
« Merci, j’y vais ! »

La tortue sauta et s’écrasa par terre après une longue chute.

Morale : Ne faites pas comme la tortue, ne demandez pas l’impossible.

Jason

Le Corbeau et le Renard de La Fontaine puis de Julien.

Maître Corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître Renard, par l’odeur alléché,
Lui tint à peu près ce langage :
« Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois. »
A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Le Renard s’en saisit, et dit : « Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l’écoute :
Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute.  »
Le Corbeau, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus.

Jean de La Fontaine

Quelques instants plus tard, le Renard se retrouva coincé dans un arbre avec son fromage. Il appela à l’aide.
Passa par là le Corbeau. Il entendit maître Renard et approcha avec précaution car il craignait un piège.
Maître Renard vit maître Corbeau puis il dit :  » Et Monsieur du Corbeau, que vous êtes grand, vous pourriez bien être le roi du monde. Il ne vous manque que du courage. Vous devriez me débloquer de cet arbre pour prouver le contraire.  »
Hopla ! En quelques coups d’aile, maître Corbeau alla se percher dans l’arbre.
D’un coup de bec, il reprit son fromage et monta sue la branche au-dessus de Maître Renard. Il dégusta tranquillement le fromage devant le malheureux goupil.

« Miam, miam, que c’est bon, je me régale ! dit le Corbeau. »
« A ton tour de me faire la leçon, c’est bien fait pour moi, dit le Renard. »

Morale : Il faut savoir être bon perdant.

Julien

Une autre poule aux œufs d’or (Mehmet).

Un fermier allait tuer une poule pour la vendre sur un marché. Il lui disait :  » Viens par là ma belle.  »
Elle s’approcha, il l’attrapa et l’emmena dans la cave. Soudain, le fermier vit un œuf étincelant tomber sous la poule. Il était en or.
 » Mais qu’est-ce que c’est que ça, je rêve, c’est un œuf en or ! Ce doit être cette poule qui l’a pondu.  »
Le fermier se dit que s’il coupait le ventre de la poule, il y trouverait sans doute de l’or. Il prit donc son couteau et lui coupa le ventre. Mais il ne trouva rien du tout, aucune trace d’or, pas une seule petite poussière d’or.
La poule était morte et le fermier regretta sa bêtise.

Morale : Quand on veut trop s’enrichir parfois on perd tout.

Mehmet

Le moustique et le lion (Esope puis Okan).

Le moustique vint dire au lion :  » Je n’ai pas peur de toi, tu n’es pas plus fort que moi. D’ailleurs es-tu vraiment si fort ? Tu griffes avec tes ongles et mords avec tes dents ; mais une femme en fait autant quand elle se bat avec son mari. Moi, je suis beaucoup plus fort que toi. Battons-nous si tu veux.  »

Esope

« Battons- nous si tu veux. En plus c’est moi le plus fort des animaux même si je suis le plus petit. »

Les deux adversaires se battent. Le lion donne des coups de pattes dans tous les sens. Le moustique, lui, le pique partout. Quand le moustique pique les fesses du lion, celui-ci devient fou. Il demande au moustique d’arrêter et admet sa défaite. Le lion est K.O.

Morale : Ce n’est pas parce qu’on est le plus fort que l’on gagne forcément.

Okan

La Cigale et la Fourmi (La Fontaine puis Cyril).

La Cigale, ayant chanté
Tout l’été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue.
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui préêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu’à la saison nouvelle.
 » Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l’oût, foi d’animal,
Intérêt et principal.  »
La fourmi n’est pas prêteuse ;
C’est là son moindre défaut.
 » Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
 » Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise. »
 » Vous chantiez ? j’en suis fort aise.
Eh bien ! dansez maintenant.  »

Jean de La Fontaine.

La Cigale avait survécu à l’hiver en voyageant partout dans le monde. Mais quelque temps après, au début du printemps, une tempête surgit de nulle part ! La tempête cassa toutes les maisons aux alentours, sauf celle la de la Cigale. Elle l’avait construite en briques. La Fourmi fut obligée d’aller demander de l’aide à la Fourmi sa voisine :  » Toc ! Toc ! Toc !  »

 » Qui est là ? demanda la Cigale. »
 » La Fourmi, votre voisine. »
 » Qu’est-ce que vous faites là ? lui répondit la Cigale. »
 » Je voudrais vous demander pardon et je voudrais que vous me laissiez dormir chez vous. Ma maison est partie avec la tempête. »
 » Dormir chez moi ? Et quoi encore. Cet hiver, vous avez refusé de me donner à manger. Et bien, débrouillez-vous maintenant ! »

Cyril

L’écrevisse et sa mère (Ésope puis Bryan).

 » Ne marche pas de travers « , disait maman écrevisse à sa fille,  » arrête de te frotter les côtes aux roches humides « .

Ésope

 » Mais Maman, c’est toi qui m’a appris à marcher comme ça. Toi aussi tu marches comme ça.  »
 » Petite insolente  » répondit maman écrevisse.
 » Tu m’as appris à marcher comme ça, ce n’est pas ma faute.  »
 » C’est vrai, tu as raison.  »

Morale : Il ne faut pas demandé aux autres quelque chose qu’on ne fait pas soi-même.

Bryan

Le moustique et le lion (Ésope puis Olivia).

Le moustique vint dire au lion :  » Je n’ai pas peur de toi, tu n’es pas plus fort que moi. D’ailleurs es-tu vraiment si fort ? Tu griffes avec tes ongles et mords avec tes dents ; mais une femme en fait autant quand elle se bat avec son mari. Moi, je suis beaucoup plus fort que toi. Battons-nous si tu veux.  »

Ésope

 » Non je ne veux pas me battre avec un plus petit que moi ! dit le lion. »

 » HA ! HA ! Poule mouillée je ne savais pas que les lions avaient peur ! dit le moustique. »
 » Ok, tu te crois plus que moi ! dit le lion. »

Le lion essaya de toutes ses forces d’attraper le moustique.

 » Et toc ! Je t’ai attrapé ! Et maintenant, c’est qui le plus fort ? demanda le lion. »

 » Non, laisse-moi la vie sauve, ne me tue pas, s’il te plait, dit le moustique. »

 » D’accord, mais ne me cherche plus, dit le lion. »

 » Mais c’est quand même moi le plus fort, dit le moustique. »

Furieux, le lion donna un coup de patte fatal au moustique.

Morale : il ne faut pas se moquer des plus grands que soit ou se croire trop futé.

Olivia

La cigale et la fourmi (La Fontaine puis Hamza).

La Cigale, ayant chanté
Tout l’Eté,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue.
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui préêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu’à la saison nouvelle.
 » Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l’oût, foi d’animal,
Intérêt et principal.  »
La fourmi n’est pas prêteuse ;
C’est là son moindre défaut.
 » Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
 » Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise. »
 » Vous chantiez ? j’en suis fort aise.
Eh bien ! dansez maintenant.  »

Jean de La Fontaine.

Pendant un beau jour de printemps, pour se rafraîchir
La Fourmi alla nager.
Mais elle but la tasse et allait se noyer.
Elle cria :  » Au secours !  »
La Cigale qui se promenait par là, entendit les cris
Et alla sauver la Fourmi.
La Cigale s’était montrée très généreuse.
La Fourmi jura d’être gentille et prêteuse à l’avenir.
C’est ainsi que la Fourmi et la Cigale devinrent de grandes amies.

Morale : Il faut toujours donner un coup de main, un jour on sera récompensé.

Hamza

L’écrevisse et sa mère (Esope puis Flora).

 » Ne marche pas de travers « , disait maman écrevisse à sa fille,  » arrête de te frotter les côtes aux roches humides « .

Esope

 » Mais qui m’a dit de marcher de travers ? C’est toi !  »
 » Moi, je n’ai pas dit que tu devais marcher de travers.  »
 » Et d’ailleurs, toi aussi tu marches de travers.  »

Maman écrevisse rougit et ne sut pas quoi répondre à sa fille. Elle s’en alla… en marchant de travers.

Morale : Il ne faut pas toujours écouter les mamans, on peut apprendre à marcher tout seul.

Flora

Une autre poule aux œufs d’or (Esope puis Nicolas).

Un homme avait une poule qui pondait des œufs d’or. Elle voulait faire des bébés, des petits poussins. Mais chaque jour, elle pondait plein d’œufs en or. L’homme les vendait et devenait plus riche chaque jour.
La poule se confia à l’homme et lui dit qu’elle rêvait d’avoir des poussins.
Il alla se coucher mais il n’arrivait pas à trouver le sommeil. Il réfléchissait et se disait :  » Je suis bien assez riche. Cette poule m’a déjà donné beaucoup plus qu’aucune autre poule n’aurait pu me donner. Je vais aller la voir demain matin et je lui offrirai une opération. L’opération fut une réussite. La poule ne pondait plus d’œufs en or. Elle eut plein de petits poussins et l’homme fit un enclos pour la poule et ses poussins. Ils vécurent ainsi heureux.

Morale : Le bonheur vient parfois du bonheur des autres.

Nicolas

Le moustique et le lion (Esope puis Azad).

Le moustique vint dire au lion :  » Je n’ai pas peur de toi, tu n’es pas plus fort que moi. D’ailleurs es-tu vraiment si fort ? Tu griffes avec tes ongles et mords avec tes dents ; mais une femme en fait autant quand elle se bat avec son mari. Moi, je suis beaucoup plus fort que toi. Battons-nous si tu veux.  »

Esope

 » D’accord j’accepte le combat, dit le lion sûr de lui. »
 » J’en suis sûr, je vais gagner le combat, lui répondit le moustique. »

Le lion donne un coup de patte au moustique mais le moustique dit :  » Je n’abandonnerai jamais !  »

Le lion allait le tuer quand le moustique dit :  » D’accord tu as gagné, tu es le plus fort !  »
Le lion accepta les excuses du moustique et le laissa partir.

Morale : Il ne faut jamais provoquer quelqu’un qui est plus fort que soi.

Azad

L’écrevisse et sa mère (Esope puis Mohamed).

 » Ne marche pas de travers « , disait maman écrevisse à sa fille,  » arrête de te frotter les côtes aux roches humides « .

Esope

 » Mais toi aussi maman tu marches de travers. »
 » Tu as raison, on naît comme ça nous les écrevisses. Viens, on rentre.  »

Morale : Il ne faut jamais dire quelque chose si on ne le fait pas soi-même.

Mohamed

Une autre poule aux œufs d’or (Esope puis Safiye-Nour).

Un homme avait une poule qui pondait des œufs d’or. S’imaginant qu’elle avait une masse d’or dans son ventre, l’homme alla tuer la poule. Mais il n’y trouva rien du tout.
L’homme se lamentait :  » Pourquoi ai-je tué ma poule ? J’aurais dû la laisser comme ça. Elle pondait au moins des œufs d’or, c’était déjà ça.  »
L’homme pensa qu’il trouverait une autre poule qui pondrait des œufs en or et il alla en acheter plusieurs au marché chaque semaine. Mais aucune ne pondait des œufs d’or. Il était désespéré.

Morale : Il ne faut pas en vouloir trop.

Safiye- Nour

L’écrevisse et sa mère (Esope puis Rosita).

 » Ne marche pas de travers « , disait maman écrevisse à sa fille,  » arrête de te frotter les côtes aux roches humides « .

Esope

La fille répondit :  » C’est toi maman qui m’a appris, alors je le fais.  »
La maman dit :  » Oui, mais je me suis trompée, alors arrête !  »
La fille écrevisse répondit :  » D’accord maman, mais pourquoi toi aussi tu marches de travers ?  »
La maman cria énervée :  » Rentre à la maison et n’en ressors pas !  »
La fille écrevisse lui répondit calmement :  » Montre-moi le chemin, toi aussi tu frottes les roches humides, alors toi aussi tu dois être punie.  »

Morale : Les mamans ne devraient jamais demander à leur fille ce qu’elles ne font pas elles-mêmes.

Rosita

Le moustique et le lion (Esope puis Allan).

Le moustique vint dire au lion :  » Je n’ai pas peur de toi, tu n’es pas plus fort que moi. D’ailleurs es-tu vraiment si fort ? Tu griffes avec tes ongles et mords avec tes dents ; mais une femme en fait autant quand elle se bat avec son mari. Moi, je suis beaucoup plus fort que toi. Battons-nous si tu veux.  »

Esope

Le lion, avec ses griffes acérées, attrapa le moustique :
 » Je vais te tuer ! Ha ! Ha ! Ha ! rugit le lion. »
 » Excuse-moi, tu es le plus fort des animaux ! supplia le moustique. »
 » Bon, je te laisse la vie sauve. Nous allons faire un marché. Je te laisse la vie sauve et toi en échange tu me rends un service. »
 » Lequel ? »
 » Tu devras me sauver lorsque ma vie sera menacée, compris ? »
 » Non, le lion, débrouille-toi. »
 » Alors meurs ! »

MORALE : Ne dites jamais non à quelqu’un qui est aussi fort et puissant qu’un lion.

Allan

Une autre poule aux œufs d’or (Esope puis Nora).

Un paysan avait une poule qui pondait des œufs d’or. S’imaginant qu’elle avait une masse d’or dans son ventre, l’homme coupa le ventre. Mais quand il regarda au fond du ventre, il constata qu’il n’y en avait pas. Il se dit :  » Zut, Je ne serai plus jamais riche !  »

Morale : C’est risqué d’en vouloir trop. Parfois on perd tout.

Nora

Un autre corbeau et un autre renard (Nurdogan)

Le corbeau et le renard.

Un jour, le renard roulait à vélo dans la rue. Il rencontra le corbeau qui passait par là. Celui-ci le vit et lui dit :  » Je pensais que tu savais rouler plus vite que ça, renard !  »
Le renard se vexa. Alors il roula plus vite et encore plus vite. Et tout à coup, au bout d’un virage, il fonça dans une poubelle. Il dut aller à l’hôpital. Il ne pouvait plus rouler.

Morale : Il ne faut pas écouter ceux qui nous provoquent.

Nurdogan